Décrire quelque chose qui sera passé dans le futur est la caractéristique essentielle du futur II. Mais cela fait aussi de « j’aurai été là » un temps dont on n’a pas vraiment besoin – à moins de faire conjuguer des verbes à son pauvre mari sans crier gare. Mais qu’est-ce que ça veut dire, le futur II ? Eh bien. Le fait est que : Vous aurez lu ceci de ma part alors que je ne serai pas encore rentrée au pays !
C’est mon dernier article depuis Trouville.
Jeudi – youpi, c’est déjà demain – j’aurai la visite d’une amie de cœur et je me réjouis de partager Trouville une dernière fois : la mer, la baguette, le marché aux poissons ou le dîner à la brasserie.
Hum. Une dernière fois … Je crois qu’il y a des gens qui comptent les dernières fois. Et je pense qu’il y a des gens qui ne le font pas. Je fais clairement partie de la première catégorie. Et c’est probablement très gênant de l’admettre, mais je célèbre en fait depuis une semaine le dernier gros achat chez Monoprix (zut : je ne l’ai jamais mentionné – mais ils ont vraiment TOUT !), la probable dernière promenade à la plage ou la vraiment toute dernière excursion à Deauville. C’est vrai.
Et pour ce point suivant aussi, je crois en deux sortes de personnes : Celles qui rendent les adieux grands et importants. Et ceux qui les minimisent. J’appartiens ici à la seconde :
Au revoir !
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1 réflexion au sujet de « 16 février : Au revoir ! »
Chère Astrid, alias chère Yvette.
Carlo et moi ne voudrions pas manquer l’occasion de te remercier chaleureusement pour le courage dont tu as fait preuve en te lançant enfin dans cette aventure, et surtout pour tes efforts et ton formidable engagement dans notre maison. Et aussi avec ce blog écrit avec amour et que l’on découvre chaque jour.
Nous tous, Carlo, Oliver, Marie-Thérèse et les hôtes de la Townhouse, avons appris à te connaître et à t’apprécier encore plus pendant cette période. Tu vas beaucoup nous manquer…
Dankeschön, Au revoir. Auf Wiedersehen, see you soon….
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